Last Hope

Moi je peux aussi faire de la pub ?

**yeux larmoyants**

On va dire que ce forum est la raison de mon absence... Venez nombreux, je viens de le creer... =D

http://lasthope.lightbb.com/index.htm

Aller... je vous met même l'histoire !

Histoire :

Nedral... une ville étrange, au milieu de nulle part et inconnue de tous. Ici, seuls ceux guidés par le désir de quitter le monde « normal » peuvent venir, guidés par une force étrange et mystérieuse. Mais faites le bon choix, car une fois entrés à Nedral, vous ne pourrez plus en sortir que les pieds devant.

Enfin, passons, ceci n'était que la mise en garde. L'histoire de cette ville et sa « hierarchie » est quelque eu plus complexe (mais pas trop, je vous rassure)

Cette ville, c'était mon idée. Une ville où les êtres les plus forts pouvait aller. Une ville où tout serait régit par une sorte de conseil de 5 personnes douées pour leurs capacités psychiques et physiques. Cette ville, je l'ai nommée Nedral et je l'ai munie d'une sorte de bouclier electro-magnétique pour que personne ne connaisse son existence. Personne sauf ceux qui en avait besoin.

La ville fut divisée en 5 secteurs :

- Serna au Sud. Un quartier dense où se cotoient immeubles de bureau et résidences de classe moyenne à élevée et où se trouve le Commendement Central de la Police. C'est un des quartier les plus calme mais... il y a quelque chose de pas net et qui fait froid dans le dos depuis que Selena Leroy en a pris le contrôle.
- Northells au Nord. Etant le quartier le plus éloignés des flics, c'est une partie un peu incontrolable. Le chef n'étant pas connus pour l'instant, je ne peut pas vous donner d'informations. Tout e que je sais, c'est que c'est là que la plupart des criminels établissent domicile. D'ailleurs, ils ont tendance à vouloir s'étendre un peu... au détriment des autres. Ici... les batiments abandonnés et pauvres cotoient les rares luxueuses résidences des criminels ayant réussi dans la vie.
- Odriens à l'Ouest. C'est un quartier tout ce qu'il y a de plus normal. Les habitants sont charmants et tout mais... c'est peut-être ce qui rend cette partie de la ville un peu... flippante. Surtout à l'exrtême Sud. A la frontière entre Odriens et Serna, une prison haute sécurité y a été érigée. Et du côté d'Odriens, un complexe scientifique ultra sophistiqué et ultra protegé. Qui sais ce qu'il s'y passe. Vous pourriez le demander au dirigeant de ce secteur, encore faudrait-il le trouver.
- Etheriel à l'est Est. Là ou jadis la famille Aogiri "reignait en maître". Suite à un génocide commis par l'un de ses membres qui est toujours en cavale, ce quartier a été reconstruit par le surivivant des Aoigiri qui désormais dirige cette partie de la ville à l'aide de deux autre personnes.Devenu un endroit calme et peu fréquenté, il est agréable de vivre ici si vous êtes plutôt solitaire. Les règlements de comptes et les crimes n'ont pas lieu ici, c'est un endroit assez désert où peu de monde sort en même temps. C'est d'ailleurs peut-être l'aspect fantôme de cette ville qui chasse les étrangers.
- Médorie au Centre. C'est la partie neutre de la ville. Elle ne fait pas partie du conflit et les différents clans se sont tacitement mis d'accord pour la laissant comme étant un lieu de non-confit. Le gouverneur de se quartier est m'est inconnu pour le moment, mais ça viendra bientôt. Et gare à quiconque prend les armes ici. Il sera pourchassé par tout les clans, sans exception. Ici, seuls des commerces divers s'y cotoient et seuls les marchands ont le droit d'y vivre.

Tout allait bien... jusqu'à ce que je leur ai annoncé que l'expension de la ville serait plus longue que prévue. S'ensuivit une discussion animée pour savoir quelles était les résolutions à prendre. Mais aucun ne voulait céder aux autres et finallement, une sorte de guerre froide se déclara. Une guerre dont l'enjeu était le territoire. Si seulement je trouvais le moyen d'agrandir le bouclier... mais si tout cela continue, ça ne risque pas d'arriver. Enfin... tant que personne ne trouve l'entrée de mon laboratoire, je ne risque rien, après tout.

Memoire du Professeur A. P. Stiles